Ein Missionair aus Antwerpen, Herr
Meerenhout
Der Nachname
schreibt sich eigentlich "Moerenhout", wurde aber in den Nouvelles
Annales des voyages et des sciences géographiques (S. 140) zu
"Meerenhout" verballhornt. [FZ] (jezt in Valparaiso) kündigt ein Werk über den Ursprung
aller Einwohner der Südsee Inseln an, er spricht von einer älteren
National-Religion deren Dogmen die Haaropo (promeneurs de nuits) besässen; alles
kommt aus dem Ei:
Hoaü nui raa ei paa
na
Bei Moerenhout 1834, S. 142:
"no". taaroa (Creation grande et
sacrée qui n’est que l’enveloppe ou la coquille) i e. vom Weltei
ferner:
lé dé Taaroa, Teori ori raa ferna
Bei Moerenhout
1834, S. 142: "fenna".
(c’est lui qui donne le mouvement et qui met toutes les parties en harmonie)
Venus heißt (er sagt nie in welcher Sprache der Südsee) Ori poï poï, chien du matin. Er behauptet que la race qui habite
depuis le Nouvelle Zeelande jusqu’à l’archipel des iles Sandwich et depuis les
iles des amis jusqu’à l’ile de Paques ne descend pas des Malais comme on l’a
longtems supposé; sondern (eine wilde hypothese) alle stammen ab von einer einst
sehr cultivirten grossen Nation, die einen untergegangenen Welttheil bewohnte.
Absprösslinge dieser Nation sind auch die Malayen
Nouv. Annales des Voyages Aout 1834 p 143:
Eté tuma (les pivots ou matières solides du centre de la
terre).
Eté papa
(les pierres).
Eté oné
(les sables).
O
,
o
(nous sommes).
Otoï na mai pohia teï fanua
(Venez, vous qui devez former cette nouvelle terre).
Pohia
(il les presse),
popohia
(il les presse encore);
acta ia e farire
(mais les matières ne veulent pas s’unir).
Toro o hitu té raï
(alors de la main droite il lance les sept cieux)
e pau mua
(pour en former la première base).
Fanaï ai té raï
(et la lumière était créée),
pau muri
(l’obscurité n’existe plus),
matarva e pau roto pau ahaï te pautia
(tout était aperçu et l’intérieur de l’univers éclairé, le Dieu lui-même
resta ravi en extase à la vue de l’immensité).
Eté pau noho
(est finie la mobilité),
franaut té ori
(le mouvement est créé).
E pau va arere
(est fini l’office des messagers),
eté va oré rareo
(est fini l’emploi des orateurs).
E faa ité tumu
(sont placés les pivots),
e faa i té papa
(sont posées les pierres),
e faa oné
(sont posés les sables),
fa opia raï
(les cieux l’entourent),
a toto té raï
(les cieux se sont élévés),
ia hoho nu
(la mer est dans ses profondeurs).
E pau fanua nohoau
(est achevée la création de l’univers).